Les bases du webmarketing

Le web

 

vous apparaît comme une nébuleuse obscure et un peu effrayante ?

 

Vous pensez que les experts du secteur parlent un autre langage que le vôtre ?

Chez Canibuy ™ nous faisons notre possible pour nous adapter à nos interlocuteurs et rendre notre discours intelligible. Une bonne compréhension de nos prestations permet une transparence que nous souhaitons la plus totale avec nos clients et constitue le socle d’une relation de confiance. C’est dans cette perspective que nous rappelons régulièrement quelques fondamentaux du web, ici rassemblés dans ce billet de blog.
Ainsi donc;

Qu’est-ce que le web ?

Quelque chose de pas si compliquée à comprendre globalement, à condition de connaître les définitions qui se cachent derrière ce jargon. Allons-y. Le web couvre toutes les méthodes permettant de se rendre visible sur le web afin d’augmenter sa notoriété et/ou d’attirer plus de clients. Ces méthodes découlent des règles édictées par de petites PME nommées « Facebook » ou encore « Google » dont le moteur de recherche est le plus utilisé au monde. Dès lors, une stratégie web efficace nécessite une excellente compréhension du fonctionnement de Google et des réseaux sociaux, et donc de se tenir à la page constamment. Elle nécessite la mise en œuvre de plusieurs leviers. Canibuy ™ s’est spécialisé sur plusieurs d’entre eux, qui sont généralement ceux utilisés en priorité par les marques cherchant à gagner en visibilité sur le web :

Le SEO (« Search Engine Optimization »)

: ou « Référencement naturel ». Ce sont tous les moyens gratuits mis en œuvre sur son site afin que ce dernier soit correctement « référencé » (comprendre « classé le plus haut possible ») dans les pages de résultat des moteurs de recherche. Ces moyens gratuits, sont de trois types :

1. Les moyens techniques

Ce sont tous les critères techniques qu’un site doit remplir pour répondre aux exigences des moteurs de recherche. Ces critères sont par exemple : un temps de chargement rapide, un site sécurisé « en https », un « balisage » correct (éléments de code qui indiquent au moteur de recherche les éléments essentiels de son site tels que les titres, les sous-titres, les images, … on pourrait dire que c’est le « squelette » du site , invisible à l’internaute), une bonne adaptabilité au format smartphone (« responsive Design »), ….

2. Le contenu

Sans exhaustivité, un « bon » contenu, une fois encore selon les exigences des moteurs de recherche, signifie : alimenter régulièrement son site en nouveaux textes de qualité et suffisamment longs (au moins 250 mots/page), éviter les redondances, organiser les pages du site en respectant une structure rigide composée de titres et de sous-titres, utiliser un champ lexical précis (les « mots clés ») mais varié qui renvoie bien au sujet principal du site, enfin utiliser des « liens internes » c’est-à-dire des liens qui renvoient vers d’autres pages de son site .

3. La popularité du site

C’est le positionnement du site dans la galaxie du web en fonction de ses interactions avec d’autres sites. Plus un site reçoit de « liens entrants » en provenance d’autres sites pertinents, qui proposent des contenus de qualité, mieux il sera référencé. On dit qu’il faut au moins six mois pour que le travail de SEO effectué sur un site porte ses fruits. Heureusement, d’autres leviers aux effets cette fois immédiats lui sont complémentaires. C’est le cas par exemple du SEA.

Le SEA (« Search Engine Advertizing ») ou « Référencement payant » :

C’est la publicité payante sur le web, source principale de revenus du géant Google. Ces pubs sont pilotées depuis une plateforme appelée « Google AdWords », littéralement « la publicité liée aux mots ». Voyons ici les deux principaux types de publicités pilotées depuis AdWords :

1. Les « annonces Search » :

Le principe des annonces AdWords est d’enchérir auprès de Google pour apparaître sur des mots-clés pertinents par rapport au sujet de son site .

2. Le « Display » :

Cette fois, ce sont des publicités telles qu’on se les imagine généralement : un encart publicitaire appelé « bannière » dans un coin de votre écran. Google dispose d’un très vaste réseau d’espaces publicitaires et les met à disposition des « annonceurs » (les entreprises ayant besoin de visibilité) qui payent selon le même procédé du Coût par Clic évoqué plus haut. Ces publicités Display se pilotent depuis la plateforme AdWords également qui propose un ciblage de l’audience de sorte que la publicité ne soit vue en théorie que par l’audience concernée. Voici à quoi ressemblent ces publicités Display :

Le SMA (Social Media Advertising)

: ou « publicités payantes sur les réseaux sociaux » Au même titre qu’il existe un référencement gratuit et un référencement payant des sites sur les moteurs de recherche, il existe des stratégies payantes et stratégies gratuites sur les réseaux sociaux. Au regard des informations demandées sur des réseaux sociaux tels que LinkedIn et Facebook, nul besoin de préciser qu’ici, le ciblage de l’audience est plus fin encore que sur la plateforme AdWords de Google.